L’assemblée générale du Groupement national des transports combinés (GNTC) a été l’occasion de mettre en avant le transport fluvial, aux côtés du ferroviaire qui reste l’objet principal du GNTC.
Le début d’année 2018 a été marqué par de nombreuse difficultés pour les modes de transport massifiés : grèves pour le transport ferroviaire, crues pour le transport fluvial... « La résilience du transport combiné et sa capacité à surmonter les obstacles ne sont plus à démontrer », a souligné Dominique Denormandie, président du Groupement national des transports combinés (GNTC) lors de l’assemblée générale de cette organisation professionnelle, qui s’est tenue le 9 octobre 2018 à Paris. Il a tenu à rappeler la « complémentarité » du fer et du fluvial. « N’ayons pas peur d’être ambitieux pour le fluvial, qui a besoin d’un réseau fort et efficace », a-t-il déclaré, se disant « convaincu de la pertinence, surtout dans les ports maritimes, de ce mode qui doit voir son image et sa compétitivité renforcées », notamment à travers Seine-Nord Europe et l’harmonisation de la facturation de la manutention.
Alors que le GNTC s’intéresse traditionnellement davantage au combiné…
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