La valorisation de terrains industriels tombés en friche pour North Sea Port constitue un enjeu important, compte tenu qu’une extension de son périmètre est devenue improbable.
S’ils ont bénéficié durant la deuxième moitié du siècle dernier d’une très forte expansion territoriale, les ports belges et néerlandais sont conscients du fait que leurs limites actuelles ne changeront plus de façon notable. L’exception se trouve à Zeebrugge ou Rotterdam qui peuvent gagner de nouveaux espaces sur la mer. De plus, dans leur périmètre existant, la part à allouer à des aménagements « verts » (protection d’écosystèmes, compensations naturelles, limitation des nuisances…) va croissant.
La valorisation de friches - souvent appelées brownfields par opposition aux greenfields développés pour la première fois - est dès lors devenue, pour les ports, un moyen d’optimiser leurs avoirs fonciers, de limiter leurs effets négatifs sur l’environnement et de continuer à pleinement jouer leur rôle économique en faisant de la place à des activités nouvelles. Dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, l’espace est une denrée rare et tout mètre carré est bon à prendre.
Cette « expansion interne » fait partie, depuis longtemps, de la stratégie de North Sea Port, le port transfrontalier né de la fusion de Gand, Terneuzen et Flessingue. Elle se manifeste notamment dans deux dossiers, dont l’un est géré par des acteurs publics, l’autre par des acteurs privés.
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