Aux Pays-Bas, toutes les parties prenantes ont signé un accord ou « Green Deal » pour travailler ensemble et réussir le « verdissement » des transports fluvial et maritime. Un accord qu’il faut désormais transformer en réalité concrète.
Pouvoirs publics, ports, armateurs et opérateurs, chargeurs, transporteurs, universités et instituts de recherche, même les banques… Aux Pays-Bas, toutes les parties concernées se donnent la main pour mener à bien le « verdissement » ou la transition énergétique et écologique des transports maritime et fluvial. Un accord ou « Green Deal » énumère les actions à entreprendre pour réduire les émissions polluantes des navires et bateaux.
Le programme d’action porte sur des aspects aussi divers que la réduction de la consommation en carburant, le recours plus intensif à des biocarburants, la massification des flux, la recherche sur les moteurs électriques, la diminution des temps d’attente aux écluses, la mise en place de nouveaux modèles de financement pour stimuler l’innovation. Une « task force » devra surveiller la mise en œuvre de ce plan et les progrès enregistrés.
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