Le port d’Anvers vient de publier ses premières statistiques de trafic en tant qu’entité fusionnée avec son voisin Zeebrugge. Le contexte géopolitique et macroéconomique influence fortement les volumes. À l’exception du conteneur, victime de la congestion depuis un an, les autres trafics se portent mieux, notamment le vrac et le conventionnel.
Il y a désormais trois voix pour commenter les trafics portuaires du port d’Anvers, qui n’est plus seul depuis sa fusion avec le second port belge, Zeebbruge. Celle de Dirk De Fauw, maire de la ville de Bruges et vice-président d’Antwerp-Bruges s’est jointe à celle des deux chroniqueurs habituels des flux et reflux du premier port belge : Annick De Ridder, échevine de la ville d'Anvers (et présidente du conseil d'administration de l’établissement portuaire unique) et Jacques Vandermeiren, ex-CEO d’Anvers et dorénavant de l’ensemble.
Pour ses premières données en tant qu’entité unique, Anvers-Zeeburgge n’est…
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