Alors que la conteneurisation gagne des parts de marché chaque année, la saturation des terminaux conteneurisés, le niveau des taux de fret et la rentabilité des services contribuent au maintien de la remorque.
En Algérie, les taux de fret pour le conteneur n’ont pas échappé à la tendance internationale en s’envolant ces derniers mois, confirment les professionnels. Un phénomène, plus local, a contribué à la hausse des taux sur le pays: la fermeture des ports secs algériens décidée au printemps dernier par l’administration des douanes a désorganisé l’activité portuaire et aggravé l’attente des navires en rade. Un mauvais calcul selon l’Algérien Kamel Khelifa, ancien membre du Comité d’expert de l’Onu (Uneca) et consultant auprès de bureaux d’études de l’UE, car « cette décision ne permet pas au pays de se relever de la crise sanitaire. »Nouvelle preuve de la résistance de la remorque sur un marché où le conteneur ne…
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