Dans le contexte de la transition énergétique du fluvial, Haropa-Ports de Paris participe à des expérimentations d’infrastructures d’alimentation en électricité quai, à des projets en lien avec le GNL et l’hydrogène.
Dans un contexte où la France vise à atteindre la neutralité carbone de la mobilité à l’horizon 2050 et où la Ville de Paris se fixe comme objectif une sortie de la mobilité diesel en 2024 et essence en 2030, la nécessité de faire évoluer la motorisation du transport fluvial devient plus pressante. « En tant que gestionnaire d’infrastructures portuaires, Haropa-Ports de Paris joue un rôle d’accompagnement de cette transition en permettant aux bateaux d’avoir accès à des énergies alternatives pour réduire leur impact environnemental, explique Morgan Van Honacker, chargé de la politique énergie-climat à Haropa - Ports de Paris. Les solutions sont multiples, voire combinables mais les principales envisagées actuellement sont l’électricité, l’hydrogène et le gaz naturel, bien qu’à ce stade, nous n’ayons que peu de visibilité sur les différentes trajectoires de développement qu’elles prendront chacune ».
La première solution sur laquelle…
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