A la fin du mois de juin 2020, les trafics du port phocéen marquent le pas avec un repli de 15 % (36 Mt) par rapport au premier semestre 2019 et de 17 % en EVP (14 % en tonnage) sur l’activité conteneur. Le fluvial apparaît à la peine, largement freiné par l’arrêt de l’écluse de Sablons en plus des effets de la crise sanitaire.
Le Grand port maritime de Marseille (GPMM) a présenté lors d’une conférence de presse le 9 juillet 2020 ses résultats pour le premier semestre.
Fin juin 2020, les trafics marquent le pas avec un repli de 15 % (36 Mt) par rapport à la même période de 2019 et de 17 % en EVP (14 % en tonnage) sur l’activité conteneur. Si Marseille limite sa chute sur ce segment-témoin de son insertion dans l’économie mondiale par rapport à d’autres ports français bien plus touchés, il part aussi de bien plus bas avec son million et demi de boîtes. Mais, il est vrai, il a connu ces dernières années une croissance plutôt supérieure à ses concurrents européens. Sur ce talon d’Achille des ports français, Hervé Martel voit des signes de redémarrage : « Les navires sont partis pleins de Chine et donc, si tout se passe bien, ils arriveront bien pleins…
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